Votre cher directeur chéri ,réssucité !!!(Mattéo Yolan )

( ne cherché pas j'ai juste faite un copier/coller )

*.Identité.*
Nom : Yolan,
Prénom : Mattéo
Âge : 57 ans
Sexe : masculin
Orientation sexuel :… n’y pense plus vraiment depuis la mort de sa femme…
Date de Naissance : 28 mai
Lieu de naissance : Irlande
Race : Humain
Poste : directeur

*.Informations.*

Caractère : Contrairement à se que son air sévère le propose, Yolan est quelqu’un de très gentil et fière. Un homme qui malgré les années et coups bas, semble avoir une volonté aussi dure qu’acier. Il s’accroche à ses croyance, se qui ne l’empêchera pas de faire se qu’il croit être le mieux, même si ceci va en l’encontre de ses croyance…Qui son d’ailleurs très vaste. Bien qu’ayant l’air d’un vautour, son caractère est plutôt le contraire, il est très indulgent envers les enfants, qu’il soit mi-animal ou pas. Leurs innocences et rêves d’enfant suffit toujours à l’attendrir et bien qu’il prêche pour la paix et pacifiste. Comme tous le monde, il pourra se montrer désagréable et très autoritaire si quelque chose en quoi il tient est menacer. Étant quelqu’un de très patient, ce vieil homme croit beaucoup au temps, sachant que celui-ci aide à guérir. Il aime qu’on se confie à lui et ne juge pas beaucoup les autres (mentalement il analyse les gens mais bon) . Il n’arrivera jamais à juger quelqu’un sur son apparence seulement et se montrera même quelque peu sèche et froid envers les gens ‘’ étroit d’esprit’’. Yolan est comme mentionner plus tôt quelqu’un de patient. Attentif, il aime observer. Altruisme, il est quelqu’un qui pense beaucoup au sentiment d’autrui. Et bien qu’il essayera le moins possible de se mêler directement entre les histoires d’autrui, se qui ne l’empêche pas d’Agir beaucoup indirectement. Bref. Yolan est quelqu’un d’esprit surtout, intelligent, l’homme réfléchit beaucoup, et est quelqu’un d’assez intelligent. Aime bien se qui est plein de vie, que sa soit les couleurs, les gens, motif, objets, aime également beaucoup la nature et la lumière…




Physique : Son visage, marqué par de longues années à quelque peu garder un air assez sévère habituelle, qui peu le faire paraître grincheux. Cependant, même si c’est l’air qu’il abord habituellement, la sévérité de ce visage disparaît lorsqu’il sourit. Mais bref, la peau légèrement tannée de son visage est ponctué de rides et de sillons profonds, contrairement à la peau à l’intérieur de ses mains, qui révèle plusieurs années de travaille,sur le dessus de ses mains, cependant,la peau semble étirer, on sentirait presque ses os. Bref, pour en revenir au visage. Il semble avoir un nez et un menton pointu (effets accentués avec la barbe et la moustache.) Des sourcils broussailleux recouvrent ses yeux marrons clairs. Ses cheveux, mi long sont tirées vers l’arrière. Habituellement habiller de vêtement pâle composer de chemise ou chandail longs, avec des pardessus. Arborant les mêmes motifs que ses chemises. Bref, d’une tenue, habituellement propre et soignée. L’homme est plutôt maigrichon, cachant une surprenante vigueur pour un vieille homme comme lui. Il boite habituellement, raison pour laquelle le vieil homme s’aide d’une canne pour marché. Ainsi voûté, sa grandeur atteint 1m 67. Sa canne est de bois foncer lustrer avec une poignées bleu, ronde.


(5 lignes minimum)
Son histoire : J’ai vécu longtemps… Assez longtemps pour comprendre… J’ai vécu assez longtemps pour comprendre que la différence engendre la haine…

Je m’appelle Yolan, Mattéo Yolan… Je suis pas sur si ce nom vous dit quelque chose. L’histoire que je vais compter, n’est ni plus , ni moins, l’histoire de mes fiertés, l’histoire de ma culpabilité , de mes joies, et de mes larmes…

Je pense être née dans les alentours de l’Irlande, je dit ‘’pense’’ car mes parents était, à l’époque de la catégorie des rares globe-trotter. Il était dure de dire à quel nationalité j’appartenais, mes parents étant, eux même de parents de plusieurs nationalité. Je ne me souviens pas vraiment des première années de ma vie, comme quiconque finalement. Je sais juste que mes parents on eu en face d’eux un dilemme cruel pour eux, continuer de voyager et m’apporter avec eux, ou me laisser à ma tante et partir comme si rien n’était. Le choix qu’ils ont fait? Me laisser chez la sœur de mon père, Angéla en Angleterre. Mais je ne leurs en porte pas rancune, je sais que la décision était pour me permettre de parfaire mon éducation, car effectivement, j’était intelligent, et je promettais à un grand avenir. Bref… Aussi étant que cela fut, je n’entendis plus parler de mes parents… Ce fut comme s’ils disparurent. Mais je ne fut pas triste… Comme mentionner plus tôt , je n’est pas vraiment de souvenirs clairs d’eux. Angéla fut comme une mère pour moi, et je ne douta pas un instant du fait que j’étais comme son fils… Je grandis comme tous les autres enfants, j’avais des amis, quoi que pas beaucoup en lesquels je croyais réellement, je me débrouillais facilement à l’école, et semblais m’orienté vers l’administration ou la psychologie. Pour ainsi dire, ,ma vie était se qu’il avait de plus normal, de plus banale… Tout changea… Se fut quand je la rencontra que tous changea… Quel âge avais-je déjà? 17 , 18 ans? J’avais déjà commencé à travailler, dans une compagnie d’assurance si je me souviens bien… Mais bon, se fut un vrai choc…Je m’en souviens comme si c’était hier…Pourtant c’était un hasard, une coïncidence…Ma rencontre avec elle fut une complète coïncidence…Une chance qu’on meut donner… Je n’avais jamais en ce monde, vue une personne si gentille, belle…Je ne me rappelle pas dans ma vie, d’avoir un jour sentit mon cœur si léger, si fort… Je ne m’étais jamais senti aussi vivant que lorsque j’étais avec elle…Isabelle… Ce fut la personne que j’ai le plus aimé, et mon cœur se réchauffe lorsque je pense qu’elle aussi m’aimait… On avait des projet, fondé une famille, on s’était marié… J’ai pensé que ça pourrait duré...Que nos cœur s’aimerais toujours et qu’on serait ensemble éternellement…

Rien n’est éternel….

Isabelle fut presque qu’inconsolable lorsqu’elle apprit la nouvelle… Il lui était impossible d’avoir un enfant… Elle pleura longuement, et moi aussi… Après tout, c’était sont rêve d’avoir un enfant…Je ne fus pas au courent où, ou même quand, mais elle entendit parler d’une recherche sur un nouveau médicament… Trop heureuse qu’elle était, de savoir qu’il y avait encore un espoir pour elle d’être en enceinte elle s’y proposa comme cobaye. Et à l’étonnement de tous, moi en premier, Isabelle tomba réellement enceinte… Se fut notre joie, à nous deux… Enfin, nous pouvions former une famille! Nous étions heureux comme personne…Cependant, ma joie folle fut littéralement glacé, lorsque le bébé vit enfin le jour… C’était une monstruosité… Une créature immonde qui n’aurait jamais du voir le jour… Aujourd’hui, j’Ai honte de l’avoué, mais je ne voyait au petit bébé avec des oreilles,une queue de chat, qu’un monstre se cachant sous forme demi humaine. Et lorsqu’il poussa son premier cri, mon vœux aurait été de le lui faire ravaler… Isabelle souffrait d’une grande hémorragie…Elle avait souffert… Nous avions souffert pour enfin fonder une famille… Et c’était ça que nous obtenions? Une créature inhumaine… Je n’en pouvais pas… Je portais envers ce ‘’monstre’’ une haine féroce et inexplicable… Tellement, que la première fois que je suis venue le voir à la pouponnière, se fut avec toute ma détermination. J’allais tout réglé. Arrangé cet être qui n’aurait jamais du faire partit de se monde…

Nous étions toujours très près… Très complice… Elle avait toujours partagé la moitié de mes pensée… C’est peut-être pourquoi elle avait déterminé mes intentions… C’est peut-être pourquoi, alors que mes mains étaient dangereusement près de l’enfant innocent, elle entra…

Mais c’était quel était faible… Isabelle souffrait d’une hémorragie suite à une accouchement… Elle ‘Aurait jamais du se lever… Pourtant… La jeune femme se tenait là, s’appuyant difficilement sur la porte…Me dévisageant avec des yeux larmoyant…

‘’Mat’’…. Je me souviens encore de sa voix faible m’interpellant, je me rappelle encore des larmes coulant abondamment de son visage fatigué. De me rappelle de sa voix qui quelque part me déchirait alors qu’elle poursuivis avec désespoir…’’ Après tous ça… Après tout se qu’on à enduré… Veux-tu vraiment détruire tout?’’…’’veux-tu vraiment tué notre enfant?’’ Ce monstre qui dormait? Notre enfant?... Non.. Ça n’avait pas de sens… Pourtant je ne pu détaché mes yeux d’elle… Du sang… Je voyais le sang coulé sur ses jambes… Pas la peine de dire que j’interrompis tout, que d’une voix profonde , je la suppliait de regagner sa chambre… Pourtant, elle poursuivit, avec le même désespoir qui caractérisait sa voix… Avec le même désespoir qui me glaça le sang… D’un pas lent, tâchant le sol blanc de l’hôpital à chaque pas… Elle se rapprocha de moi… Du berceau… ‘’ Notre sang… Notre sang coule dans ses veines… Veux-tu vraiment le tué??.... Veux-tu vraiment tué notre bébé… Mon enfant?’’ Ses larmes touchèrent le sol rougit… Paniquer… j’utilisa une commande pour appeler une infirmière… Ce qui n’empêcha pas isabelle, de s’approché… D’une poigne faible, elle s’accrocha à ma manche… À mon bras…Ses yeux mauvetés me dévisagèrent avec une détresse profonde alors qu’elle répéta d’une voix , cette fois tellement faible qu’elle se résuma à un murmure ‘’notre…enfant’’… Elle s’écroula sur moi…Ses longs cheveux noir enveloppant sa tête qui reposait contre ma poitrine…Comme si elle dormait…

Comme si elle dormait…

Les médecins et les infirmiers sont arrivés trop tard… Son hémorragie avait empiré… Elle morte par perte de sang massive…Et alors que le personnel enveloppa toute trace qu’elle eut été ainsi dans l’hôpital, la seule chose qui me resta, fut la créature qu’elle m’avait laisser…

J’aurais voulu rejeter le blâme de sa mort sur lui… Mais la vérité était que je n’y arrivais pas… Que je me savait responsable dans cette histoire… La vérité était que je culpabilisais…La vérité était que j’avais mal…Une douleurs profonde qui c’était incrusté dans tout mon être…Une douleur profonde qui me brûlait les yeux et qui me déchirait le cœur…Et bien que cette douleurs ne me quittait pas, je m’aperçu que les jours passa, et je me surpris à prendre soin de l’enfant…Pourquoi? Je ne comprit pas vraiment, mais se fut comme si, le laisser seul me faisait encore plus mal que de m’en occupé… Peut-être était-ce la culpabilité?...Ce fut la seul idée qui me passa par la tête… Car à cette époque, je voyais comme impossible le fait que j’aille pu avoir un quelconque sentiment d’amour envers Nollan. Car oui… Le bébé fut bâtiser Nollan.

Le temps est quelque chose d’étrange vous ne trouvez pas?...Vous savez, quand vous êtes enfants, et que vous vous écriez que vous ne feriez jamais quelques chose, ou qu’au contraire, que fous feriez quelque chose quand vous serez adultes? Une fois que vous grandissiez vous vous rendez compte que finalement, c’est le contraire?... c’est une des magies du temps…Vous faire changer d’avis… Vous faire faire l’impossible. C’est un peu ce qui m’arriva…Contre tous se que je m’attendais, Nollan devint une des personnes les plus importante de ma vie…Et non pas comme un ’’monstre’’ restant d’Isabelle, mais bien comme mon fils…Nollan était un charmant homme-chat, au cheveux bleu foncé et yeux mauve. Des oreilles foncés, et une longue queue de chat…Il aimait la musique, l’art, travailler avec ses mains. Il était quelqu’un de polie et responsable, qui défendait se en quoi il croyait… Il était quelqu’un dont j’étais fière…Et c’est peut-être pourquoi j’étais susceptible envers ceux qui osait ne serait-ce que le regardé bizarrement devant moi…Les années passèrent…Et quelque ne fut pas ma surprise lorsque qu’un jour, revenant d’école, je vis ses yeux s’éluminer…Et lorsque je lui en demanda la raison, il me dit, d’une voix heureuse et au comment ému qu’il n’était pas le seul. Sur le coup je ne compris pas vraiment mais il m’expliquer, la nouvelle étudiante, elle avait des oreilles et une queue touffue de chien…Cette nouvelle attisa ma curiosité mais bon, les choses restèrent comme elles furent pour un certain temps…Car étrangement, la complicité entre nous deux… Commença à disparaître… Jusqu’ à se qu’une dispute entre nous coupe les ponts…Se fut quand Nollan m’avertit qu’il comptait quitter l’école, trouver un travaille et vivre avec sa petite amie (qui était la nouvelle étudiante qu’il m’avait parler ) … (à noté, Nollan avait 18 ans)… Et lorsque je lui répondit que je ne permettrais pas qu’il quitte l’école, il m’a lancé des phrases qui dans ma vie m’auras le plus marqué…’’que comprends-tu de moi?.... Que comprends-tu n’être pas libre d’être différent ou non? Que comprends-tu des gens qui me regarde avec haine… Juste à cause que je ne suis pas comme eux? Que peux-tu y comprendre?’’ …

Ce fut l’une des dernière fois que je le vis… Je me souviens de son regard frustré alors qu’il quitta la pièce… Un coup de fil de sa part me permit de savoir qu’il était déjà installé avec sa petite amie… Et qu’elle entendait un enfant…Mais il ne me dit même pas ou est-ce qu’il était… Il ne me dit rien d’autre.

Quelques mois passa sans que j’aille de ses nouvelles, se qui m’inquiéta au plus haut point… Mais dû à notre dispute, je m’efforçais de le laissé tranquille. La dernière fois qu’il m’avait appelé, il semblait heureux… n’était-ce pas tout ce qui devait me suffire? N’était-ce pas tout ce qui devait suffire à un père pour être heureux?... Si les choses pouvaient changés… Et pas seulement en mal, comme elles étaient habituées de le faire…

Comme elles étaient habituées de le faire…

Un coup de téléphone…Une voix triste et désespérée qui me rappela aussitôt celle qu’Isabelle avait avant sa mort…C’était apparemment ma belle-fille auquel je n’avais jamais parlé…Elle parlait en panique, de sang, de surprise… D’hôpital… J’imaginais le pire, alors que je la calma à travers le téléphone et força à me dire l’adresse… Je conduit plusieurs heures dans l’angoisse…Le temps que j’arrive…

Il était déjà mort…

Là-bas, j’ai rencontré Sarah…Je n’eut aucun mal à la reconnaître, avec les oreilles de chiens beiges qui ornait sa tête… Les larmes inondait son visage alors qu’elle m’expliqua entre deux soubresauts et sanglot…Ils marchaient tous simplement, revenant de leur magasinage des gens leurs avaient tous simplement tombé dessus…Lorsque je suis allée voir la police, la réponse qu’il mon donné était simple… dénué de sens…Il avait été victime d’un crime gratuit… Mon Enfant C’était Fait Battre À Mort…. Pourquoi?....Pourquoi?...POURQUOI?…Mon propre enfant…Mort sans raison qui puisse avoir ne serais-ce qu’une once de logique à mes yeux…Mort…De nouveau…J’eu mal…De cette douleur, effroyable et inhumaine qui caractérise la perte… Perte de quelqu’un de cher…Combien de temps cela dura? Impossible pour moi de le dire….

Sarah quand à elle? Elle fut encore plus dépressive… Elle semblait être plongé dans un immense cauchemar…Stressée, angoissée, elle pleurait beaucoup… Mais bref depuis la mort de Nollan, j’était celui qui s’occupait d’elle… Car si j’eu bien comprit, ses parents l’avaient très jeune abandonné…Mais bref,le stresse, la fit accouché prématurément…Je me souviens encore, à l’hôpital avant l’accouchement, la conversation qu’elle eut avec moi. ‘’ J’en peux plus Yolan…Je peux plus continuer comme ça…Je…Je peux pas élevé un enfant… Je peux pas élevé SON enfant… je..je’’… De nouveau elle éclata en pleure… À travers ses sanglots je l’entendis…’’Que va-t-il se passé si cette enfant vient au monde avec des parties animales? Que se passe-t’il s’il naît comme moi, ou comme Nollan? Que se passerait-il?’’ Et alors qu’elle redoubla ses pleurs elle s’Accrocha à moi en continuant… ‘’ J’ai peur!! Tous le monde… Va haïr cette enfant… On va le battre à mort comme Nollan…. Je ne pourrais pas supporter de voir ça Yolan!! Je ne pourrais pas supporter de voir le corps mutilé de mon enfant, comme j’Ai vu avec mon marie…J’AI PEUR!!!.... À quoi va ressembler sa vie?... SI ça continue, il n’y aura aucun endroit ou cet enfant pourra rire…Sourire… Tous simplement grandir heureux…’’ . Instinctivement, mes bras c’était refermés sur elle, et une bouffées de peine et de pitié me monta au cœur… Pas juste de peine et de pitié… De rage aussi… Non seulement envers ceux qui m’avait enlevé mon enfant… Ceux qui l’avaient continuellement regardé avec mots de haine, gravé dans le regard… Mais aussi envers moi-même…La haine que je m’inspirais était forte… Celle d’avoir pensée comme ‘’eux’’ Celle d’Avoir regardé deux des personnes que j’aimait je plus en se monde disparaître sans rien pouvoir faire…Les paroles de ma disputes avec Nollan…Les dernières paroles d’Isabelle…Tous ça me remonta en mémoire, et alors que les larmes roulèrent sur mes joues rougit, ma voix commença à former des mots, devançant ma pensée.

-Il va pouvoir naître et grandir… Je vais faire un endroit… Je vais créer un endroit où se que les gens pensent n’aura pas d’importance…Un endroit où toutes personnes différentes se sentiront libres… Où la haine des autres de pourra pas atteindre les gens différents… Je vais le créer…Un endroit ou ton enfant pourra grandir heureux….

Cette promesse scella à jamais mon destin… Il scella à jamais se qui deviendra une de mes plus grandes fiertés. L’accouchement se déroula sans anicroche et Sarah mis au monde un jolie enfant avec des oreilles qui devaient être ceux d’un chat ou d’un chien, c’était difficile à dire…Elle était calme… Calme de par la promesse que je lui avait faite… Sereine…Quelques semaines plus tard, elle me fit ses au revoirs,pris son enfant, et partie en me laissant rien d’autres que quelques paroles…Auquel je tiens chèrement… ‘’Je l’attendrais… Cet endroit promis…’’…

Les quelques années qui suivirent, je ramassa l’argent… Non seulement des assurances vies d’Isabelle et Nollan, mes tous se qu’en ma vie j’avais pu amasser, tous se que Angéla m’avait laisser… Et tous se que mes parents m’avaient légués. Bien vite me ramassa une fortune… Ce fut lors que je commençai à rassembler mes idées… Quel endroit pourrais-je créer? Les premières idées qui me vienne fut celle d’un hôpital ou d’un bloc appartement,,, Se fut en me rappelant la dernière disputes que j’aille eu avec Nollan que l’idée me vint…Une école… Non…Un pensionnat… C’était se qui y avait de mieux… Des enfants différents… Il se devait de créer un pensionna, pour préparé ses enfants…Pour les rendrent fières d’être différents…Il se devait de créer un pensionnat…Pour donner un avenir aux enfants différents, et les permettrent d’apprendre avec les gens qui était, comme eux différents

Ainsi Kojiin fut créer….

Je m’appeler Yolan…Mattéo Yolan… l’histoire que je viens de compté n’est ni plus, ni moins l’histoire de mes fiertés, l’histoire de ma culpabilité, de mes joies, et de mes larmes… C’est mon histoire…

J’ai vécu longtemps… Assez longtemps pour comprendre… J’ai vécu assez longtemps pour comprendre que la différence engendre la haine…Je commence à me faire vieux peut-être ne verrais-je pas la fin de cette ère de haine… Mais je souhaite au moins, avoir un aperçu de qui seront ceux qui composeront se futur…Futur, qui promet une lutte difficiles pour eux, eux qui sont différents.


Peurs : Que Kojiin ferme, que ses étudiants soient blessées.
Points forts : Prendre des décisions, jouer aux échecs. la botanique, comprendre le mental d'une personne
Points faibles : Natation…Agir directement dans une situation…
Code : Validé par Shouti

Désolé, pour la fin de l'histoire, j'ai manquer d'inpiration après 1h30 d'écriture...