Terrain de jeux [PV: Théo]

Vent et lumière, mais surtout tempête et bruits. Les vents soufflaient dans les arbres en faisant virevolter les feuilles de manière presque ordonnée, s'amassant non loin en tas qui fut écrasé par une certaine boule de poils. Les gens bavardaient en groupe et marchaient calmement, spectacle monotone et ennuyeux. Seulement, une petite chose bougeait avec vitesse, bousculant même quelques piétons et parfois, des voitures. Ce jour là, Leo était d'une joie inexplicable. Ses parents l'avaient laissé au pensionnat en lui disant que ça allait être amusant, ce qu'il semblait croire sur parole. Véritable petite tornade, le chaton s'amusait à courir après les feuilles, peu importe le nombre d'obstacles qu'il avait sur son passage. Il allait trop vite pour les voir de toute manière et il se fichait des autres. Il était totalement ancré dans son monde pour fuir la solitude.

Leo se présenta tout seul à l'accueil et demanda le nécéssaire, d'un calme incroyable.
« Voilà, Lionnel, ce sont les clés de ta chambre, la chambre 08. »
Ses yeux presque aveugles se baissèrent sur la table. Seul une légère étincelle se fit voir, ce qui lui suffit à mettre sa main dessus comme si c'était une souris. Un grand sourire fendit son visage. Leo se mit tout de suite à quitter l'accueil en gambadant, dansant presque, pour courir vers sa chambre, bagages en main. Au fait, ses valises étaient très spéciales. Il n'y avait aucun métal dessus. Tout n'était que du tissus fragile, il n'y avait même pas de boutons ni fermeture-éclair. Rien qu'une courroie pour les transporter, qui semblait faite en même temps que la valise, aucune couture extérieure. C'était presque la même chose de ses effets à l'intérieur qui eux, étaient coincés entre eux tellement ils étaient serrés. Bref, à force de jouer partout, Leo arriva à la porte presque essoufflé, mais n'en perdant pas moins son sourire. Ce n'est que devant la porte qu'il prit conscience d'une absence...

« - Mes clés ?! Où sont-elles ? »

Les yeux humides, Leo se mit à pleurnicher comme un enfant. Il déposa ses valises près de la porte et s'assied dessus. Avec ses oreilles rabattues, ses joues humides et ses mains qui essuyaient ses yeux, il avait le plus parfait des airs de gamin. Mais il voulait absolument entrer, là, tout de suite, maintenant ! Donc, à chaque passant, il prit son regard le plus triste et tira sur leur manche, lançant d'une voix brisée par un trémolo :

« - Dis, vous avez vu mes clés ? Et vous, est-ce que vous les avez vu ? »

Théo soupira ayant appris qu’il aurait deux nouveaux colocataire… en plus des nouveau et merde quel poisse pensa t’il en premier lieux . après avoir fait le tour de l’école en silence empêcher deux gars de se battre et avoir été acheter ses anti dépresseur illégale , il marcha en silence son kangourou noir sur lui ainsi que son capuchon . lentement très lentement il vue le petit gamin aux bous du couloir courir avec sais valise si bien que sais clé tombèrent de sa poche. Ou quelque chose du genre. Il se pencha les ramassa toujours en silence ignorant les gens autour de lui se focusent sur cette enfant il se dirigea vers les chambre lentement arrivent une 10 de minute âpres lui. Il le vue devant sa porte demandant aux gens si il avait vue sais clé .

Théo sourit s’approcha et posa sa main sur l’école du gamin et dit :

-tu veux te tasser si tu veut que je nous ouvre la porte .


Théo appuya un légère pression de sa main sur l’épaule pour l’insister a bouger un peut il sorti son cet de clé puis lui tendit celui que le gamin avait sois disant perdu.
-tien tes clé...
Théo introduit sa clé dans la serrure et débarra la porte en silence . Son revolvers sur la table il s’empressa de le prendre et de le mettre dans son coffre qu’il barra part la suite avec une autre clé . Malheureusement le gosse du le remarquer mais bon il le rangea dans le garde-robe a une hauteur qu’il savait que le gosse pourrait pas le prendre et de dirigea vers le babillard ou il commença a enlever les divers morceaux de journal parlant du vol aux casino qu’il avait effectuer avec son gang maintenant décéder, si il gardait se morceau de papier s’était en souvenir de celui qu’il avait été et de son frère.

Une main se posa sur son épaule. Pris de surprise, Leo se recula, l'air horrifié. Ses oreilles étaient rabattues, tandis que sa main tâtait son pantalon, comme pour trouver quelque chose habituellement sur ses hanches, mais qui n'y était plus. C'est surtout le fait de ne pas retrouver une arme qui le fit trembler de peur. Il releva la tête vers l'interlocuteur avec force d'hésitations. Peut-être n'aurait-il pas dû le regarder et partir en courant plutôt. C'était un homme grand et massif qui se tenait devant lui. Jeune du moins, il était habillé en sombre, un capuchon sur la tête. Seul ses yeux brillaient, de la hauteur qu'il était. Bien oui, il y avait une assez grande différence de taille. Bref, deux ailes déchiraient son dos, ce qui était à la fois terrifiant et rassurant. C'était donc un élève. Leo resta là à le dévisager avec insistance, sans comprendre les paroles qui lui étaient adressées.

Un pression sur son épaule le réveilla. Avec un mouvement vif, il attrapa ses valises et se déplaça à reculon, comme si il voulait éviter de le perdre des yeux. Oui, il était suffisament menaçant pour qu'il le prenne en ennemi et ait envie de le tuer. Déjà, il préparait un plan, mais qui fut vite interrompu par la brillance de ses clés. Il les attrapa et les mit dans sa poche. Les clés s'entrechoquaient tellement il tremblait. Oui, la peur lui faisait un si grand choc qu'il ne parvenait même plus à bouger correctement. Bref, il entra dans la chambre en comprenant que c'était sûrement son colocataire, vu que l'autre semblait détendu. Quelle chance. Il allait bien s'amuser. Tout en gambadant, Leo déposa ses valises sur un lit, comme si sa peur n'avait même pas existée. Il s'assied, alors que ses yeux feu ne parvenaient pas à voir le pistolet que le colosse rangeait. Il n'était pas assez éclatant pour qu'il le voye, le confondant avec le grand. Bref, avec sa curiosité, il allait sûrement pouvoir jeter un coup d'oeil, peu importe l'endroit où il se trouvait.

Leo se leva d'un coup et gambada jusqu'au faucon. Il s'arrêta net et regarda ce qu'il faisait, l'air totalement naïf, se balançant presque. Ses yeux fixèrent les aiguilles un moment, puis, d'un mouvement hésitant, Leo se hissa sur la pointe des pieds et en toucha une. Parfait. Il en prit quelques-une qu'il mit dans sa poche, comme si cela n'avait pas d'importance. Il prit un sourire heureux et reporta son attention sur le faucon. En silence, il le regarda avec de grands yeux curieux, puis se décida à tirer sur sa manche pour attirer son attention. Dès ce mouvement, sa voix se fit presque chantante.

« - Dis, il y avait quoi dans la malle ? Et c'est quoi ces papiers ? Est-ce que tu es mon colocataire ? dit-il en l'enterrant de questions.

Théo sentit apres un moment un moment le gamin lui tirer la manche il soupira se retourna et se pancah a sont niveaux il réfléchit un moment en écoutant les parole du gamin il pris une voix calme et se qui pouvait sembler douce , car théo était pas habituer de parler comme ca . sais alors quil répondit :

-sais un souvenir… *menti til a la première questionsa vois avait sembler plus triste* sais papier ... son sens importance ^^ et ouais … je suis ton colocataire et je si ta des ennuie ou des devoir que tu comprend pas je suis la d’accord ?¸

Il luis sourit puis se dirigea vers son lit ou il s’étendit et continua :

- Défait tes valise et apres tu me posera tout les question que tu veut …

Théo lui adressa un sourire et le regarda se disans qu’il aurai aimer êtres heureux comme lui a son age.


(cours je sais désoler X.x

Sans plus de réaction, Leo hocha vigoureusement la tête et gambada jusqu'à ses valises, comme si le dialogue avait été sans importance. Mais son sourire trahissait ses pensées. Un sourire malicieux en accord avec le plan qui se tramait dans son esprit. Néanmoins, il n'était pas au point. Ses conditions physiques lui faisaient obstacle. Il s'écrasa sur son lit et ramena ses bras derrière la tête, l'air rêveur. On aurait pu croire qu'il pensait à ses parents, mais en fait, il réfléchissait encore aux préparatifs de son jeu, un grand sourire aux lèvres, comme si c'était amusant. Son âme était noire, noir charbon à coté de celle d'un enfant normal. Lorsqu'il jouait, c'était pour gagner, quel que soit le prix à payer. Lorsqu'il riait, c'était presque obligatoirement de quelqu'un ou pour flatter son orgueil. Lorsqu'il vous regardait, c'était que vous étiez sa prochaine cible. Mais où était le vrai mal quand ce n'était rien qu'un enfant, une chose innocente qui ne sait pas ce qu'elle fait ? Et si l'inverse existait, qu'est-ce que ça changerait ?

Comme si quelque chose l'avait touché, le chaton se releva avec vitesse et ouvrit ses valises. Il avait envie de faire du mal. Il toucha la courroie d'une valise et tira discretement dessus dans l'espoir qu'elle soit suffisament solide pour étrangler quelqu'un avec. Elle se déchira littéralement en deux avec la fragilité d'une feuille de papier. Avec l'allure d'un enfant qui casse son jouet, Leo prit une mine triste. Il prit la valise vide et l'amena vers son colocataire avec la tête d'un chien qui guette une place au gîte. Ses oreilles félines étaient rabaissées, les épaules et le dos bas, sa queue féline tombante et son regard, graduellement humide, tellement qu'une larme était sur le bord de glisser sur sa joue. Bref, le parfait hypocrite. Il baissa un peu la tête et toucha le jeune homme avec sa valise abîmée. Ses pupilles pâles et larmoyantes fixaient les siennes avec timidité.

« - J'ai pas fait exprès... Tu pourrais la réparer, s'il te plaît ? » dit-il avait un trémolo dans la voix, tout en essuyant du revers de sa main une larme.