Rose d'épines [PV: Zohir]

( excuse du retard )

Le phoenix baissa tout simplement les yeux aillant peur d'avoir reconnu un (ami) qu'il a connu quand il était plus jeune. Ce jeune garçon se nommait Lionnel Mulhmeister mais, il préférait se faire nommer Leo et Zohir l'avait respecté la-dessus. La première rencontre entre ses deux enfants étaient pour le départ un simple amusement à jouer au cowboy et à l'Indien mais, cela se termina en désastre. Mais, il devait oublier tout cela et espérer ne jamais le revoir. Mais, ce chaton avait des airs qui sont similiares à celui de Leo. Alors, il tenta de garder le visage au sol mais, l'une des mains du chat lui prit fermement le visage pour qu'il le regarde droit dans les yeux.

Le minou lui disait qu'il aimait les yeux rouges orangés de Zohir tout en demandant par la suite s'il aimait bien ses yeux car, ses yeux voulaient tout dire. Il était franc avec lui alors pourquoi notre jeune étudiant ne montrait-il pas son âme ? Zohir le regarda attentivement et vit que ses yeux tremblaient mais pourquoi ? Il en savait rien tout ce qu'il sut c'est qu'il était rendu en dessous du chat avec les griffres de celui-ci qui s'enfonçaient un peu dans la peau. Il avait beau appris à cacher ses émotions mais, on pouvait voir une certaine peur dans les yeux de Zohir. Il tenta de se débattre pour sortir de cet enfer avant que cela ne dégénère.

(hj: tu me reconnais quand tu veux :hj)

Un éclat de peur dans les yeux écarlates de l'hybride. Une petite victoire, dans son petit coeur. Car oui, dans son coeur, il n'y avait pas de place pour grand monde, que pour lui. Son esprit n'était pas dans ce monde d'ailleurs, il vagabondait à travers ses cauchemars pénibles, mais moins pénibles que la solitude qui régnait et le déchirait. Et puis, de toute manière, son âme était corrompue depuis longtemps, car l'âme d'un enfant est fragile comme une rose, mais on ne peut la comprendre, ses épines sont superficiellement retoudables, au point qu'il n'y ait plus le rouge des pétales, rien que celui du sang.

Face à sa fuite effrenée, Leo prit rapidement les bras du gamin et les plaça sous sa gorge, de manière à ce qu'il s'étrangle seul. Cela n'était par contre pas imparrable, car le chaton ne se battait que rarement sans armes et ses maigres bras n'étaitent pas une arme fatale. Bref, il le regarda s'étrangler avec un rire presque sadique puis se tût subitement. Il poussa un faible miaulement comme un beagle qui siffle son maître après une trouvaille, puis ses traits se détendirent. Ses paupières se fermèrent un moment puis se réouvrirent paisiblement, un sourire en coin. Un regard nouveau illumina ses prunelles pâles. Pourtant, c'était une méprise ancienne, passée, qui brillait.

« - J'ai gagné, indien. »

Une de ses mains alla caresser les tempes de l'hybride pour s'arrêter sur son menton, tandis que ses pupilles fixaient celles de l'enfant. Il sourit.

« - Je n'oublierai jamais ce regard, aussi éclatant de peur que de couleur, Zohir. »

Sur ce, le chaton le lâcha. Bien sûr, il l'étrangla un peu rien que pour la forme, puis se leva sans plus. Il alla s'appuyer contre la porte, attendant une réaction de sa part. Ses premières victimes avaient été les animaux, car il les détestait, mais aussi car il était diablement amusants de les voir paniquer. Il ignorait si les humains étaient ainsi. Ses pupilles fixèrent Zohir avec défi, comme si il le défiait d'essayer de sortir.

Le sang coulait un peu le long de ses joues et ses yeux montraient un peu la peur mais, il avait peur seulement de ce qui se passait maintenant, il ne savait pas encore que c'était Leo son (ami) d'enfance qui était entrain de jouer avec lui à sa manière. Le chat mit les bras du phoenix autour du cou de Zohir afin qu'il s'étrangle par lui-même cela semblait l'amuser d'avantage car, il fit un rire quelque peu sadique quand il vit Zohir placer de la sorte.

Ce qui ne rassura guère notre jeune étudiant c'était le petit silence et le miaulement par la suite . Cela annonçait rien de bon sourtout le nouveau sourire qui s'illumina sur le visage de celui-ci. Les paroles qui suivirent affirma que ce Zohir pensait. C'était réellement bel et bien Leo qui était de retour dans la vie du jeune garçon. Il eut un brin de désespoir sachant à présent qu'il était devenu la marionnette de Leo.

Il se laissa étrangler de nouveau par le chat mais, il se sentit quelque peu soulagé quand il le vit le laché. Il pouvait à présent respirer même s'il toussait quelque peu pour reprendre son souffle. Il resta quelque instant au sol pour ensuite se lever en douceur et regarder attentivement le chaton qui le défiait tout simplement. Alors, il ne savait pas trop si il devait l'affronter pour sortir de là ou tout simplement attendre qu'il en ai marre pour partir ?

Les bras croisés, Leo fixait Zohir avec attention, l'air à la fois amusé et sadique. L'hybride ne se débattait pas du tout, même chance après chance. Son but n'était pas de le provoquer directement, c'était de savoir ses limites. Si il n'en avait pas, tant mieux, ce serait un éternel jouet. Finalement, ses oreilles se redressèrent et le chaton lui adressa un sourire heureux, comme si une idée venait de lui passer par la tête. En contraste avec ses paroles, il se mit à chantonner.

« - Viens ici et déshabille-toi, kleiner vogel. »

Il lui sourit innocement tout en aguisant ses griffes. Mais il avait de la difficulté à attendre. Comme un enfant impatient, Leo se mit à trépigner un peu en prenant une allure boudeuse. Ses raisons étaient mystérieuses, mais il aimait voir comment les gens pouvaient être confus, quelques fois. Donc il n'en dit pas plus. Comme si l'attente de quelques secondes étaient de trop, le chaton s'approcha de sa proie et l'attira un peu vers lui pour éviter de faire un effort de plus. Il y avait une légère différence de grandeur et Leo le remarqua bien vite, maintenant qu'ils étaient si près. Ses oreilles se rabattirent d'un coup sec, tandis que sa main griffue aggripait le chandail de Zohir. Malgré sa colère, un mince sourire apparut à travers ses mâchoires serrées.

« - Obéis-moi et mets-toi à genoux ! Et si tu es sage, tu choisiras la marque que je ferai sur ta peau. (rire) Un beau un ? Ou bien devrais-je aller plus loin et défigurer ce joli minois ? Allez, choisis ! »

( pardon pour ce long retard )

Zohir était à présent en avant de Leo et de la porte qu'il ne pouvait atteindre... pour l'instant. Ils restèrent là tous les deux à se regarder attentivement sans doute pour voir qui allait agir en premier ou un truc du genre puis Leo demanda à notre pheonix de se déshabiller. Cela était contre sa nature et puis cela était un comportement selon lui qui dépassait amplement l'âge de la personne qui se tenait devant lui. Appart s'il avait acquit une certaine maturité depuis la drnière fois qu'il la vue cela n'a aucun sens.

Il avait seulement que le visage qui affirmait peut-être ce que Zohir pensait mais, il ne dit pas un mot afin de tout simplement continuer de regarder Leo qui se tenait encore devant lui. Il aiguisait ses griffes tout en prenant un visage quelque boudeur qui fit apparaître un tout petit sourire sur le visage de notre jeune garçon mais celui-ci s'effaca assez facilement quand il le vit se rapproche de lui et l'aggriper par le chandail tout en lui disant de l'obéir et de se mettre à genoux et que si il était sage, il aurait le choix de la marque qu'il aurait sur la peau.

Il se mit donc à genou pour commencer mais il trouvait cela tellement absurde de se déshabiller qu'il ne le fit pas en tout cas pas pour le moment.