Arrivée au garde à vous!

C’était un matin, et oui une journée doit bien débuter par une matinée. Celle-ci était plutôt belle : le soleil ce levait doucement apportant une couleur ocre au ciel qui quittait sa couleur bleue roi de la nuit fraiche et silencieuse. La rosée et la fraicheur du matin apportait un charme incomparable aux paysages.

Yamaneko aimait bien ce lever aux aurores, en même temps que le soleil, en même temps que toutes choses endormies. Elle avait comme ça, l’impression de faire parti de ce monde, d’être un petit grain de sable parmi tant d’autre. En plus ces derniers temps la femme neko avait vraiment du mal à ce considérer comme un être qui est tout aussi important que quiconque ; aussi important qu’un président, qu’un petit africain, qu’une fourmi etc…

Le matin c’est le vrai moment où la femme-lynx était sereine et trouvait un calme intérieur. Mais ce matin là n’était pas comme les autres pour Yamaneko ; car aujourd’hui elle avait décidé d’aller au pensionnat Kojiin où tous les êtres comme elle y étaient plus que le bienvenu. Mais est-ce qu’elle le mériter vraiment ? C’était la grande question de la neko qui était perché tel un lynx qui admire son territoire fier de lui, sur une branche d’arbre. D’autre questions lui passaient par la tête ; est-ce qu’elle allait être bien accueillie ? Allait-elle tomber sur des gens qui allaient de nouveau la juger sur autre chose que le faite d’avoir des oreilles de lynx ? Est-ce qu’elle sera acceptée en tant que professeur de nature ou de sport ? Car il faut le dire ; Yamaneko n’avait pas de diplôme et encore moins dans l’enseignement.

Au fur et à mesure que le soleil apparaissait totalement fessait disparaitre l’aurore pour laisser place à la journée, Yamaneko stressait de plus en plus, elle décida donc de descendre de sa branche et de marcher vers le pensionnat en question. Elle s’alluma une cigarette qu’elle fuma le plus lentement possible pour se calmer et savourer chaque bouffée. La femme-lynx marchait d’un pas ni lent ni rapide. Observant autour d’elle la ville se réveiller petit à petit : la boulangerie qui était déjà ouverte où sortait une bonne odeur de pain chaud, des lumières dans quelques fenêtres s’allumer, deux trois personnes marchaient aussi dans la rue… Bref un matin tranquille et peuplé d’habitude.

La jeune femme marcha et lança son instinct de lynx la guider un peu pour avoir l’esprit concentrer sur comment elle allait faire pour se présenter et persuader le directeur du pensionnat de l’admettre en tant qu’enseignante. Quand soudain elle arriva devant le portail où il était marqué : « Pensionnat Kojiin »… C’était bien là ; elle était arrivée à bon port ! Mais il était encore trop tôt pour qu’il y ait du monde et qu’il soit ouvert. Alors la jeune femme observa cette belle bâtisse et tourna le regard vers la droite, puis la gauche. Yamaneko vit un grand terrain où l’herbes étaient très bien coupées : c’était un terrain pour y pratiquer du sport extérieur. Sans prendre la peine de ce demander si elle avait le droit ou pas elle se dirigea vers cette immense terrain vert.

Yamaneko marcha jusqu’au milieu du terrain et regarda, écouta, observa les alentours telle une féline qui cherche à savoir si elle et seule ou pas. Et Yamaneko poussa un soupir en sentant bien qu’elle était pour le moment seule… Comme d’habitude. La femme-lynx s’allongea alors dans l’herbe qui était maintenant sec du au soleil qui était déjà chaud : cette journée allait s’annoncer belle au niveau du temps ; il n’y avait en plus à peine trois quatre petits nuages qui se courraient après dans le ciel bleu pastel.

Elle se laissa bercée dans ses pensées s’imaginant tout ce qu’elle pourrait vivre ici, du meilleur comme du pire. C’est à ce moment là qu’elle sentit la présence de quelqu’un qui s’approchait du terrain. Yamaneko devina avec son instinct que c’était un neko aussi. Cette femme avait vraiment des sens furtifs et très développés. Elle ne bougea pas ; à quoi cela servirait de courir de l’autre bout du terrain ? Cette personne l’avait déjà vu sûrement. Et puis elle ne fessait rien de mal si ? Et puis cet inconnu avait peu de chance de s’arrêter et d’aller discuter avec une pauvre neko allongée dans l’herbes… Il avait des choses plus importantes à faire pensa Yamaneko, qui se souvenu qu’elle était venue ici pour une chose importante : se faire embaucher.

[désolé du Rp court et pas très bien =S...]

Maxime revenait du travail, elle avait les yeux pochés, elle était morte de fatigue. Elle n’était même pas sûre si elle allait arriver à se rendre jusque dans sa chambre pour aller dormir dans son lit pour le peu d'heure qui lui restait. Elle se trouvait pour le moment dans le parc parce qu'elle venait tout juste de finir de présenter la météo à la télévision. Elle était contente de voir à quel point sa vie avait changée du tout au tout depuis qu'elle a prit l'emploi de journalisme. Cela était beaucoup mieux que d'être une simple journaliste pour Kojiin, mais cela lui manquait tout de même un peu.

Elle salua ses confrères de travail et quitta le parc très lentement. Ses pieds étaient lourds et chaque pas lui étaient insupportable tellement elle était fatiguée. Elle est debout depuis des lustres selon elle, elle s'est levée en fait vers 4:30 du matin parce qu'elle devait se préparer pour le programme de 5:00 . En plus, elle était encore sur les nerfs. Après tout, cela n'était que la deuxième fois qu'elle passait à la télévision. Heureusement pour elle, personne a retirée la tuque de panda qu'elle a sur la tête sinon, il aurait remarqué qu'elle avait des oreilles de chat et cela aurait ruiné sa carrière et sans doute plus. Bref pour le moment tout va très bien pour Maxime.

Elle se rendit finalement dans la cour du pensionnat. Elle y était presque, il restait plus beaucoup de pas à faire quand celle-ci tomba dans le gazon frais de la cour du pensionnat. Sa tête lui disait de continuer, mais son corps ne pouvait tout simplement pas. Même que ses yeux commençaient à se fermer et ses paupières devinrent de plus en plus lourds puis, elle s'endormit sur la pelouse ne se rendant même pas compte qu'elle pouvait être observé en ce moment même.

Yamaneko, la neko lynx qui était ici pour postuler en tant que professeur, était toujours allongée dans l’herbe du terrain du pensionnat Kojiin, c’était le matin et il n’y avait personne dans les parages, la neko trouva cela tellement paisible qu’elle serait bien resté ici une éternité… Mais une personne était arrivée près du terrain, d’après les sens très affutés de Yamaneko, elle sut que c’était, comme elle une personne mi humaine mi félin ! Elle perçut même que c’était une jeune femme.

Cette neko semblait marchait d’un pas assez lent, comme si elle était somnambule, finalement après deux trois pas sur le terrain vert celle-ci s’écroula. Yamaneko qui était allongée au milieu du terrain et qui observer tout ça avec tout ses sens sauf la vue car elle avait les yeux fermés, avait donc entendu avec ses oreilles fines et pointues de lynx le corps fatigué de la jeune hybride s’écraser au sol dans un bruit étouffé par l’herbe.

D’habitude la personnalité de Yamaneko ferait qu’elle ne préterait pas attention à la personne qui venait de s’endormir, mais là la femme lynx était entrain de penser à une chose ; si elle voulait faire parti du personnel de ce pensionnat, elle devait impérativement venir en aide aux gens qui l’habitait ! Yamaneko poussa tout d’abord un énorme soupir, elle était si bien toute seule dans cette grande étendu d’herbe… Elle était une solitaire et finalement elle se demanda pourquoi venir ici : un pensionnat c’est l’endroit où on croise le plus de gens et où on est jamais tranquille : toujours quelqu’un à chaque recoin. Mais alors pourquoi donc avoir postulé ? Yamaneko elle-même ne le savait pas, surement parce que justement une partie d’elle avait besoin d’être entouré de personne ? Yamaneko secoua vivement la tête et se leva finalement en s’étira les bras, elle tourna la tête vers l’endroit où la jeune neko s’était endormie… Ses yeux perçant furent assez surpris en voyant le physique de la jeune femme : elle ressemblait plus à un garçon qu’autre chose.

Intrigué, la neko lynx s’avança vers elle ; la neko endormie était petite, les cheveux aussi court qu’un garçon, habillée comme un homme… Bref tout comme un jeune homme d’une quinzaine d’année, mais pourtant Yamaneko sentait bien que c’était une jeune femme d’une vingtaine d’année pas plus ni moins. La futur professeur ne pouvait la laisser là au sol, dormir par terre. Certes les chats avaient l’habitude de dormir par Terre, mais un peu de civilité tout de même ! Yamaneko passa doucement et très discrètement sa main derrière les épaules de la petite neko et l’autre bras près de ses genoux, pour la soulever sans lui faire mal. Yamaneko n’eut aucun mal vu la légèreté de la neko du à sa petite taille. La femme aux longs cheveux violets regarda à droite puis à gauche : personne ! Mais elle devant elle, il y avait un banc à côté d’un arbre. La femme lynx y déposa aussi doucement qu’elle l’avait prit l’autre neko. Elle l’installa aussi confortablement que possible.

Puis ne voulant ni la réveiller ni la laisser seule, Yamaneko bondit telle un lynx sur la branche du cerisier fleuri qui était quelques mètres du banc et s’agroupa sur une branche de celui-ci. Elle alluma une cigarette et commença à fumer, attendant que soit la neko se réveille soit que quelqu’un arrive.

Maxime était tellement fatiguée, qu'elle ne se rendit même pas compte qu'elle fût transportée par une personne jusqu'à un banc. Elle dormait de plus belle, elle n’avait pas beaucoup dormi ses temps ci et cela lui faisait du bien maintenant. Même si cela était sur un banc dans la cour du pensionnat. Elle respirait lentement et grouillait un peu sur le banc, mais pas au point de trébucher de celui-ci et de se réveiller.

Pendant qu'elle dormait, il eu deux jeunes garçons qui arrivèrent. Les deux riaient très fort, mais cela ne semblait pas troubler le sommeil de notre mi-chat. Ses deux garçons en question regardèrent à présent notre mi-chat qui semblait à un jeune homme. Puis, ils avaient envie de s'amuser un peu. Cela n'était pas la première fois que ces deux là embêtaient Maxime. La première fois, c'était quand elle avait sortit de la bibliothèque avec des livres et les garçons avaient fait tomber ses livres, mais en plus, ils avaient bousculés sa meilleure amie Zakara qui était tout de même jeune à l’époque. Même qu'elle avait partit à pleurer et qu'elle s'est enfuit par la suite. Maxime avait trouvée cela scandaleux que deux garçons comme eux s’attaquent à une jeune canidé sans défense comme était Zakara autrefois. Ils allaient pour faire pire, mais le surveillant est arrivé et à demander aux garçons de partir. Peut-être parce qu'ils n'avaient pas pu s'amuser comme ils le voulaient la première fois qu'ils sont maintenant ici dans la cour. Ils veulent peut-être se venger de notre jeune journaliste. Bref, ceux-ci se trouvaient à présent à côté de Maxime. Ils levèrent tous les deux les poings pour frapper Maxime quand soudain ...

(hj : pardon pour ce cours post, je ferrai mieux la prochaine fois :hj )