Avenir (PV:Shiloh(et Mia si ça te tente))

(Hj:puisque personne ne me valide j'ose prétendre que ma fiche est correcte, Mia si tu veux joindre libre à toi^^, ça faisait longtemps que j'avait pas écrit alors désolé des longueurs HJ)

Le vent soufflait...Il faisait virevolté ses cheveux et s'engouffrait dans ses oreilles canines. C'était le début de l'automne et les températures descendaient rapidement, dans sa simple veste elle aurait dû grelotter, mais plongée dans ses pensées, Zak remarquait à peine le vent glacial.

Le toit était un des endroits qu'elle aimait le plus. C'était tellement...Ouvert. Le ciel bleu qui s'étendait à perte de vue, la couleurs simple et uniformisé blanc, et le grillage qui laissait le regard vagabonder au loin. Elle s'y sentait bien, et c'était probablement la raison pour laquelle elle avait demandé à Shiloh de la rencontrer là pour discuter. Super, la mi-canine était de nouveau nerveuse...

C'était stupide, elle le savait. Shiloh était probablement déjà au courant que quelque chose se passait, s'il avait parler avec les autres profs et constaté qu'elle n'était pas inscite cette année. Mais si son frère adoptif ne c'était pas toujours toujours à chaque seconde montré entièrement supporteur, il était du moins, en tout temps ou presque, compréhensif, alors elle savait que c'était irrationnelle de sa part d'avoir peur. Ses mains griffues serrèrent le métal froid du grillage. Par où allait-elle commencer? Qu'allait-elle dire? Elle ne se souvenait même pas si Shiloh était au courant ou non de son passé. Et elle avait toujours cette espèce de peur au ventre depuis un an. Quand les rêves de sa maman ont commencés à remplacer les yeux noir du Démon...Euh...Non. Zakara c'était depuis longtemps résolu à ne plus appelé l'homme "Démon". C'était un meurtrier, un misérable comme jamais un être vil, mais humain. Bref, les rêves de sa mère ont commencé. Ils étaient différents mais avec des éléments communs. Le plus commun,se souvint telle sombrement c'était la fourrure de sa maman. Lorsque la mi-canine fut petite, elle se souvint de se que la fourrure de sa maman représentait pour elle:la sûreté, la chaleur, elle se sentait bien lorsqu'elle serrait sa mère dans ses bras, son odeur douce remplissant son museau...

Un vent glacé passé, Zak frissonna avant de se croiser les bras. Quelle était l'odeur de sa mère? Si seulement elle s'en souvint. Il y avait des fois ou en rêve, sa mère n'avait pas de visage, elle se réveillait alors en sursaut, l'esprit embrouillé, tentant désespérément de se rappeler. Et des fois, elle n'y arrivait pas. Ça l'effrayait un peu, non, la terrorisait, d'oublier sa mère, surtout qu'encore aujourd'hui elle pouvait se rappelé clairement du Dém...De l'Homme. Et bien que les visages de ses complices c'étaient depuis longtemps effacés, elle se rappelait de leurs voix. Elle ne savait pas quand, peut-être cela fut en allant au cimetière, regardant la télévision et voyant des familles faire leurs adieux à une dépouille que ça la frappa réellement. Où était le corps de sa mère?

Zak avait mûrit et si, avant elle aurait put dénier cette possibilité, ne pas y pensée à quelle point c'était dégoûtant, aujourd'hui elle se rappelait et elle savait. Elle se rappela des fourrures d'animaux, des cadavres dépecés dans la cabane, elle se souvenait du fusil de l'odeur de sang. Elle se souvenait des paroles "laisse, les bébés valent plus cher vivant". Quelqu'un, quelque part portait la peau de sa maman .La mi-canine serra les dents.

Et ça la dégoûtait...Oh oui....Ça la rendait malade à un tel point qu'elle n'arrivait même pas à l'exprimer. Elle avait envie de hurler, de pleurer, de vomir jusqu'à ce que son âme expulse l'image des tapis d'ours, des manteaux de fourrure ou des trophées empaillées...

Parce que c'était le sort qu'avait été réservé à sa mère, non? Et cela attisait en son âme, quelque chose de froid dans son ventre...Quelque chose de glacial, qui bouillonnait. Un sentiment qu'elle n'avait auparavant jamais vraiment, vraiment éprouvé. Elle avait connus la Peur, la terreur même de la mort qui vous regarde et sourit. Elle avait connu le désespoir des murs qui te retiennent et du sentiment de perte. Elle avait connus l’anxiété, la confusion et la peur de se qui est inconnu. Mais jamais elle avait expérience cette haine pure, cette rage envers quelque chose qui...quelque chose qui était aussi injuste! Qu'avait fait sa mère? Elle c'était trouver en face d'une bande d'humain qui l'avait traité comme rien d'autre qu'un vulgaire animal! Ce n'était même pas sa maman mais Zak qui c'était trouver en travers de leur route, sa mère n'avait pas que la protéger! Elle revoyait le visage de l'homme, chaque jour elle y pensait, et ses derniers temps plus que la peur, plus que cette terreur profonde, l'image de sa mère revenait. Et quelque part, l'image de cet homme, en train de manger de boire, de conduire ou de rire...Arggg....Elle s'était coupée avec ses griffes....

L'Homme était libre, quelque part...Il était libre...Il avait rit en voyant sa peur, avait tuer sa maman, et l'avait envoyé dans un zoo...Comme des vulgaires chiens...Non...Tu ne tue pas un chien pour le plaisir...Même les chiens avaient eux plus de considération qu'eux...Et cet Homme...Responsable de tous ses malheur, riait, quelque part, se permettait d'être heureux après ce qu'il lui avait fait? Cette indignation reprenait et cette haine ne la lâchait pas...Et c'était pour cela qu'elle c'était mise à travailler, c'était pour cela qu'elle quittait ses études pour le moments.

Car elle ne pouvait se résoudre à savoir cet Homme quelque par, savourant la vie.

C'était la raison pour laquelle elle s'était préparée. Zakara avait fait des recherches et avait déjà un plan d'action. Elle allait à Kadata. Sure, Zak c'était ramassé de l'argent mais elel n'était pas folle à croire qu'elle pouvait rester là-bas longtemps. Raison pourquoi elle irait à Kadata une semaine et reviendrait travailler à Kojiin la semaine suivante, pour retourner à Kadata .La mi-canine avait calculer qu'elle pourrait ainsi durer environ 22 mois avant que ses économies soient épuisées, ce qui, elle espérait ,soit assez pour ouvrir une enquête officielle.

Par ce que elle ferait sure que l'Homme soit juger par la loi. Et elle savait que se serait difficile, mais elle espérait retrouver sa fourrure de sa maman, et lui donner une sépulture. Elle s'avait que technologiquement, la police faisait des miracles, ils pouvaient arrêter des meurtriers vieux de décennies, retrouver des corps après des années...

Zak savait aussi que certains n'avaient pas de chance et restait comme dossier des années et qu'ils n'étaient jamais résolus...Mais Zakara serait optimiste.

Elle était tellement profondément dans ses pensées, le vents soufflant qu'elle n'entendis pas les pas qui s'approchaient.

Shiloh venais de finir ca premier journée en tant que professeur. Il avait trouvé la journée éreintante. Après c’être fait lancer trois fois par les élèves qu’il n’était surement pas capable de faire ce qu’il leur demandait, il c’était alors élancer dans la piscine avec c’est élève. Après plus de 300 longueurs il était mort. Il n’avait qu’un envie, manger et aller au lit. Il n’avait jamais pensé qu’être professeur était si difficile. Zakara lui avais demandé de la rejoindre sur le toit de l’école. Elle voulait lui parler.

Il se doutait de quoi, car le directeur était venue le voir, car tout le monde prenait Shiloh pour le grand frère de Zakara, mais avant d’y aller il alla chercher à manger en ville, car il n’avait pas le gout de manger la nourriture infâme de la cafétéria. Il prit alors le repas préférer de Zakara, une bouteille de saké pour lui et Mia, car il lui avait demandé de venir le rejoindre sur le toit.

Lorsqu’il arriva à l’école la cloche de fin de cour sonna. Il n’était pas si en retard que cela. Il gravit les escaliers qui menaient au toit deux par deux et ouvrit la porte. Il vit alors Zakara près du grillage. Elle ne l’avais pas entendue arriver. Il prit alors une vois plus grave et lui dit.

"Jeune fille vous n’avez pas le droit de vous trouver sur se toit…"

(Maudit word qui me marque 2 page et j'arrive ici un texte tout petit)

(Xd, regarde le nombre de mot dans ce cas^^)

Peut-être devrait-elle commencer par une discussion légère, non sérieuse du genre: Comment a été ta journée? Tes collègues sont-ils sympas? Vas-tu diriger une équipe de sport officiel cette année? Oui...Elle pourrait, mais elle sentait que si elel le faisait, elle se dégonflerait et éviterait le sujet qu'elle était pourtant venue discuté. Ce n'était pas que Zak n'avait pas confiance en Shiloh, ou Mia... C'était tous simplement qu'elle n'avait jamais vraiment eu quelque chose d'aussi gros à annoncer. Étrangement sa discussion avec le principale c'était dérouger à merveille, elle n'avait pas bafouillé, avait à peine était nerveuse, plus déterminée qu'autre chose.Mais maintenant....

C'était différend... Ce n'était pas une bonne nouvelle, ou peut-être l'était-ce? Elle n'arrivait pas à savoir. C'était peut-être également une mauvaise, la mi-canine n'arrivait pas à comprendre;ce n'était pas comme si elle pouvait tous simplement dire que c'était une nouvelle, neutre sans bien nis mal. Non. À bien y penser, se n'était même pas une nouvelle, c'était une décision, un hasard. C'était un avenir incertain, et pendant un moment, l'aldolescente eu l'image de la roulette russe. Mais c'était stupide. Elle ne jouait pas à un jeu inutile, avec tout à perdre et rien à gagner non? À moins qu'elle y jouait avec l'Homme,ça expli...

"Jeune fille vous n’avez pas le droit de vous trouver sur se toit…"

Elle paniqua, se retournant comme si on l'avait brûlé en bafouillant incohéremment.

-DésoléeC'es....Ouvert...Pas....Permisssion

Tirade qui prit fin lorsqu'elle leva les yeux. Elle s'empourpra...

-Arg...

Finalement, lorsque le choc s'évapora complètement, elle ne pu s'empêcher de se sentir infinimment stupide...Et Outrée...

-C'est vraiment pas gentil ça...

Cependant, elle ne pouvait pas retenir le petit sourire qui vint se greffer à ses lèvres...Elle était stupide. De quoi avait-elle eu peur? De quoi avait-elle peur présentement...Elle se racla la gorge avant d'embarqué dans le jeu.

-Dans ce cas vieil homme, que faites vous ici?

Un sourire moqueur à l'exagération qu'elle venait de faire l'accompagnait dans son attente de la suite des évènements.